Clinique santé vertébrale

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Bien porter… le porte-bébé!

22 février 2018 By Jean-Sébastien Gélinas

À la naissance, le bébé adopte une position foetale enroulée sur lui-même. Sa colonne est arrondie, ses membres sont fléchis. Cette position doit alors être respectée lorsque bébé est porté. Votre nouveau-né n’a pas encore la musculature développée qui lui permet de soutenir sa colonne vertébrale, c’est pourquoi le portage demande une vigilance particulière.

À la naissance, la colonne vertébrale de votre poupon mesure en moyenne 24 cm et grandira d’environ 50% durant sa première année de vie. C’est le taux de croissance le plus rapide que l’humain aura à subir durant toute sa vie. C’est donc pour cette raison que le positionnement adéquat de la colonne vertébrale et des hanches est primordial.

Le portage aide bébé à faire la délicate transition entre sa vie utérine et sa nouvelle vie, adoptez-le.

Lorsque vous choisissez un porte-bébé, assurez-vous de respecter les critères suivants:

  • Le poids de bébé doit être réparti sur ses fesses
  • Son dos doit être arrondi
  • Sa tête est dans l’axe de la colonne vertébrale
  • Le haut de sa tête est à la hauteur des bisous
  • Ses mains sont à la portée de sa bouche
  • Ses genoux doivent être à la hauteur de son bassin ou plus haut
  • Avant l’âge de 3-4 mois, placer les jambes en position de la grenouille
  • Après 3-4 mois, les genoux peuvent être écartés et les jambes « embrassent » le porteur

Faites attention aux points suivants:

  • L’enfant ne doit pas être supporté par ses organes génitaux
  • Les jambes ne doivent pas être pendantes
  • Il ne doit pas y avoir de point d’appui pour les pieds
  • Son dos ne doit pas être cambré vers l’arrière
  • Sa tête ne doit pas être en extension

Quelques précautions à prendre lorsque vous portez bébé:

  • Son menton doit être décollé de son thorax
  • Ses voies respiratoires doivent être dégagées
  • Son visage doit être découvert
  • Bébé doit être hydraté régulièrement
  • Protéger les extrémités et la tête contre le froid ou le soleil
  • Ne pas porter bébé durant votre sommeil
  • Choisir un porte-bébé adapté à la taille du porteur et de l’enfant
  • Lire les consignes d’utilisation avant usage
  • S’assurer avant chaque usage du bon état du porte-bébé
  • S’assurer que le porte-bébé est attaché de façon sécuritaire

Outre le confort et la posture de l’enfant, ceux du parent porteur sont également importants. En espérant que ces quelques conseils pourront vous guider adéquatement dans le choix de votre porte-bébé, n’hésitez-pas à demander conseil à votre chiropraticien!

Saviez-vous que?

Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains».

Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.

De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.

La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème.

La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Un dérangement à la colonne vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps.

La chiropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.
Source et références:
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

Feldman, R., Eidelman, A. I., Sirota, L., et Weller, A. (2002). Comparison of skin-to-skin and traditionnal care. pediatrics,110(1), 16-26 Santé Canada. (2008). Porte-bébés et porte-bébés en bandoulière. Santé Canada. Institut national de santé publique du Québec. (2009). Avis sur l’utilisation sécuritaire des porte-bébés souples et en bandoulière. Gouvernement du Québec. Fysh, P. (2010). Chiropractic care for the pedistric patient. International Chiropractors Association Council on Chiropractic

Classé sous :Association des chiropraticiens du Québec, Nouvelles Balisé avec :porte-bébé

Le syndrome de la tête plate

15 février 2018 By Jean-Sébastien Gélinas

Avec l’arrivée d’un nouveau-né à la maison, plusieurs questionnements surviennent. Une grande préoccupation de tous les parents est la prévention de la tête plate. Il est donc important de comprendre comment elle se produit afin de trouver des solutions pour la prévenir.

Qu’est-ce que la plagiocéphalie?

La plagiocéphalie désigne un aplatissement au niveau du crâne qui survient suite à une pression externe prolongée sur la tête de bébé. Le crâne de bébé est très malléable à la naissance en raison de l’absence d’ossification au niveau des sutures, c’est-à-dire des jonctions entre les différents os du crâne. Cette malléabilité persiste quelques mois et commence à diminuer vers le quatrième mois de vie de l’enfant. Il est donc important de profiter de cette période pour effectuer les traitements nécessaires à la diminution de l’aplatissement. La plagiocéphalie peut entraîner des retards au niveau du développement moteur global de l’enfant dans ses premiers mois de vie. Il est donc important de s’en préoccuper. Ainsi, plus un enfant est évalué rapidement à la naissance, moins la plagiocéphalie aura d’impacts.

Quelles sont les causes possibles de la plagiocéphalie?

  • La position intra-utérine; c’est-à-dire la position dans laquelle était bébé à l’intérieur de l’utérus (manque d’espace)
  • La diminution de la mobilité cervicale peut faire en sorte que bébé garde toujours sa tête dans la même position
  • La diminution de la mobilité cervicale peut être causée, par exemple, par la position intra-utérine, par l’utilisation de forceps ou de la ventouse lors de l’accouchement
  • Positionner bébé toujours sur le dos

Quels sont les signes à observer qui pourraient indiquer la nécéssité d’une consultation en chiropratique pour mon nouveau-né?

  • Bébé a une préférence à maintenir sa tête toujours à gauche ou à droite
  • Bébé ne peut relever sa tête et se pousser avec ses avant-bras vers l’âge de trois mois

De quelle façon la chiropratique peut-elle aider à prévenir ou diminuer la plagiocéphalie?

Par des manipulations adaptées aux enfants, les soins chiropratiques permettent de :

  • Rétablir la mobilité cervicale
  • Assouplir la musculature cervicale
  • Conseiller les parents sur différents exercices à faire avec bébé afin de favoriser son développement moteur

Un suivi régulier chez le docteur en chiropratique permet d’identifier les sources possibles de dysfonctions vertébrales et ainsi contribute à prévenir l’apparition de problèmes futurs. En plus des ajustements chiropratiques, les soins peuvent inclure des recommandations pour un style de vie sain comme des façons d’améliorer la posture de votre enfant, des conseils sur le port du sac à dos et des exercices.

Une bonne hygiène vertébrale est la clé d’une santé optimale.

Saviez-vous que?

Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains».

Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.

De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.

La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème.

La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Un dérangement à la colonne vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps.

La chiropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.
Source:
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

Classé sous :Association des chiropraticiens du Québec, Nouvelles Balisé avec :diminution de la mobilité cervicale, plagiocéphalie, position intra-utérine, syndrome de la tête plate

La chiropratique et l’allaitement

8 février 2018 By Jean-Sébastien Gélinas

Au cours des 20 dernières années, l’allaitement a gagné en popularité. Plusieurs recherches démontrent les bénéfices de l’allaitement sur les plans nutritionnel, immunologique, digestif, neurologique, développemental, psychologique et émotionnel.

Plusieurs facteurs vont affecter le fait que le bébé soit capable de prendre le sein adéquatement et poursuivre l’allaitement pour une longue période de temps. Un facteur souvent oublié est l’implication des composantes musculo-squelettiques et du système nerveux de l’enfant dans l’allaitement.

Indicateurs les plus communs de difficultés au niveau de l’allaitement :

  • Bébés qui ne peuvent prendre le sein
  • Bébés qui ont de la difficulté à maintenir une bonne succion
  • Bébés qui ne peuvent qu’être nourris dans une position ou toujours au même sein
  • Bébés qui semblent toujours insatisfaits au sein
  • Bébés qui pleurent souvent
  • Blessures au sein de la mère

Optimiser l’expérience de l’allaitement

Les chiropraticiens peuvent avoir une grande influence sur le patron de tétée du nouveau-né. De plus en plus de consultantes en lactation réfèrent en chiropratique afin d’aider le nouveau-né à parvenir à une tétée optimale et à diminuer les symptômes de la mère. Il en va de la responsabilité du chiropraticien de comprendre le processus de l’allaitement afin d’aider le patient. Il peut être très intéressant d’intégrer la chiropratique dans un contexte multi-disciplinaire afin d’optimiser l’expérience de l’allaitement autant pour la mère que pour l’enfant.

Lors de l’évaluation du bébé, il est important de comprendre la mécanique et les étapes à suivre afin d’obtenir une prise du sein normale. Dans son étude, Righard (1998) estime que 94% des mères qui font face à des problèmes dans leur allaitement ont un positionnement incorrect et une mauvaise mise au sein.

Lorsque l’allaitement est plus difficile, il est important de considérer que des dysfonctionnements musculo-squelettiques chez l’enfant peuvent être impliqués. Le bébé doit avoir une excellente mobilité cervicale de façon à pouvoir effectuer une bonne extension de sa tête afin de prendre le sein correctement. Ainsi, l’amplitude de mouvement de la colonne cervicale et l’intégrité de la musculature doit être évaluée. Une diminution de la rotation cervicale dans une direction pourrait faire en sorte que la prise du sein gauche ou droit, selon le cas, soit plus difficile.

L’articulation temporo-mandibulaire ne devrait également présenter aucune restriction afin de permettre au bébé d’ouvrir la bouche assez grande pour prendre le sein. Une tension dans les muscles autour de l’articulation comme le masséter, le temporal ou les ptérygoïdiens peut causer un problème. L’intégrité du système nerveux, particulièrement les nerfs crâniens, joue un rôle primordial afin que tous les réflexes primitifs impliqués dans l’allaitement, comme la succion et la tétée, fonctionnent correctement.

Le chiropraticien peut avoir un effet important lorsque le traitement vise toutes les composantes biomécaniques impliquées. L’intérieur de la bouche de l’enfant devrait aussi être examiné afin de vérifier la hauteur du palais et de s’assurer que le frein de la langue n’est pas trop court, ce qui pourrait perturber la tétée.

Le traitement chiropratique postnatal

L’allaitement et les premiers temps de la maternité sont une période au cours de laquelle la femme peut être sujette à différents maux. Suite à l’accouchement, la femme peut ressentir diverses douleurs au bas du dos résultant de tensions au niveau des muscles et/ou de restrictions articulaires. Aussi, la posture adoptée lors de l’allaitement ou en donnant le biberon peut créer des tensions entre les omoplates et à la région cervicale.

Le traitement chiropratique chez la femme et l’enfant aura pour but de restaurer la fonction nerveuse permettant au corps de s’exprimer et de parvenir à un état de bien-être et de santé. Il permet d’améliorer l’alignement propre et la mobilité des segments vertébraux. Chez le nourrisson, l’ajustement vertébral se fait à l’aide du bout du doigt et la pression exercée est très légère, semblable à un effleurement.

Un suivi régulier chez le chiropraticien permet d’identifier les sources possibles de dysfonctions vertébrales et ainsi prévenir l’apparition de problèmes futurs. Une bonne hygiène vertébrale est la clé d’une meilleure santé.

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à poser vos questions à votre chiropraticien(ne).

Saviez-vous que?

Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains».

Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.

De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.

La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème.

La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Un dérangement à la colonne vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps.

La chiropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.
Source et références:
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

Arcadi V., Birth induced temporomandibular dysfunction: the most common cause of breastfeeding difficulties. Proceedings of the national conference chiropractic and Pediatrics, 1993, Arling-ton VA: international chiropractic association. Canadian Paediatric Society, Dieticians of Canada and Health Canada, Nutrition for Healthy Term Infants, Minister of Public Works and Govern-ment Services, Ottawa, 1998.Crowell MK, Humenick SS., Relationship between obstetric analgesia and time of breastfeeding, J nurse Midwifery 39(3):10-56, 2004. Fallon Joan, Chiropractic and pregnancy: A partnership for the future, ICA International Review of chiropractic November/December 1990 Forrester Judy, Chiropractic care during the third trimester of pregnancy, Canadian Chiropractor magazine Aug 1996, vol #2, p.37 Ligue La Leche, Traité de l’allaitement maternel, Édition révisée, 1999. Ohm Jeanne, Breastfeeding difficulties and chiropractic, Pathways to family wellness, 2005, vol 11, p.24-25. Ransjo-arvidson AB et al., Maternal analgesia during labor disturbs newborn behavior: effects on breastfeeding, temperature and crying, Birth, 2001, 28 (1):5-11.

Classé sous :Association des chiropraticiens du Québec, Nouvelles Balisé avec :allaitement, composantes musculo-squelettiques

Exercice aérobique et anaérobique

1 février 2018 By Jean-Sébastien Gélinas

Cette capsule porte sur deux formes d’activité physique très différentes, mais tout aussi importantes l’une que l’autre pour vous tenir en forme : l’exercice aérobique et anaérobique. Les deux formes apportent de nombreux bienfaits non négligeables.

Différence entre les 2 formes d’éxercices

  1. Oxygène : Aérobique signifie « avec oxygène » et anaérobique « sans oxygène ». Les exercices aérobiques exigent un apport en oxygène ; ils intensifient le rythme et la profondeur de la  respiration, ce qui a pour effet d’augmenter l’apport en oxygène. Les exercices anaérobiques ne dépendent pas d’un apport en oxygène et durent moins longtemps. Ces exercices brefs et intenses ne permettent pas d’augmenter l’alimentation en oxygène, ce qui amène le corps à produire de l’acide lactique et provoque une fatigue musculaire plus rapide. Toutefois, les bienfaits de l’exercice anaérobique ne reposent pas sur l’endurance, de sorte que cette réaction n’est pas nocive.
  2. Durée : En général, les exercices aérobiques visent l’endurance et ont donc pour effet de maintenir un rythme cardiaque plus élevé durant une période prolongée. Les exercices anaérobiques sont habituellement plus intenses et nécessitent une bouffée d’énergie sur de courts intervalles de temps.
  3. Rythme cardiaque : Les deux formes d’exercices contribuent à l’accélération du rythme cardiaque : la différence réside dans le niveau et le maintien. De façon générale, les exercices aérobiques augmentent de façon continue le rythme cardiaque à un niveau qui se situe entre 70 et 80 % de votre fréquence cardiaque maximale. Vous serez essoufflé, mais pas au point d’en perdre le souffle. Par contre, les exercices anaérobiques peuvent vous amener à un niveau de 80 à 90 % de votre fréquence cardiaque maximale, une zone intense que vous ne pouvez maintenir que durant de brèves périodes. Un entraînement anaérobique extrême peut vous pousser à 100 % de votre fréquence cardiaque maximale. Les bienfaits de cette forme d’exercice reposent sur ce que vous accomplissez durant ces bouffées d’intensité.
  4. Dépense énergétique : Lors d’activités aérobiques, votre corps utilise l’oxygène pour décomposer les glucides et les lipides pour y puiser de l’énergie. Si vous avez assez d’énergie et d’oxygène, vous pouvez utiliser vos muscles à une intensité aérobique durant une période prolongée ; vos muscles pourront continuer à se contracter sans avoir besoin de repos. Au contraire, lors d’exercices anaérobiques, l’apport en oxygène est insuffisant pour procurer à votre corps l’énergie dont il a besoin pour maintenir un tel niveau d’intensité. Comme nous l’indiquions au paragraphe 1, l’acide lactique s’accumule dans les muscles, ce qui contribue à leur fatigue et à votre essoufflement.
  5. Bienfaits pour la santé : Les exercices aérobiques sont excellents pour votre santé cardiovasculaire. Ils contribuent également à l’humeur, à la santé mentale, à la souplesse, au maintien du poids et à une diminution des risques de maladie. De leur côté, les exercices anaérobiques favorisent l’augmentation de la masse musculaire maigre et de la densité osseuse. La pratique d’exercices anaérobiques renforce le corps et le prépare pour les activités aérobiques, et vice-versa. Tout bon programme de mise en forme devrait inclure les deux formes d’exercice, pour votre santé physique, votre santé mentale et votre bien-être.

L’importance des 2 formes

Il est important d’intégrer dans votre quotidien des exercices aérobiques et anaérobiques, afin de renforcer votre système cardiovasculaire, de même que votre colonne vertébrale, vos muscles et votre système nerveux. La Société canadienne de physiologie de l’exercice recommande aux personnes de 18 à 64 ans de faire 150 minutes d’activités aérobiques d’intensité modérée à élevée par semaine, ainsi que des activités de renforcement des muscles et des os au moins deux jours par semaine1.

Types d’éxercices à pratiquer

  • Exercices aérobiques – Voici quelques exercices aérobiques très simples qui vous sont déjà familiers : course, vélo, marche rapide, danse et la plupart des cours de conditionnement physique de votre gym local.
  • Exercices anaérobiques – Voici quelques exercices anaérobiques courants qui feront travailler vos muscles : sprint, poids et haltères, exercices avec bandes de résistance et entraînement par intervalles.

Pour mieux comprendre les exercices qui vous conviennent, consultez votre chiropraticien
ou chiropraticienne de famille.

Saviez-vous que?

Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains».

Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.

De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.

La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème.

La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Un dérangement à la colonne vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps.

La chiropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.
Source et références:
Association chiropratique canadienne | chiropratique.ca

1. Société canadienne de physiologie de l’exercice. Directives canadiennes en matière d’activité physique à l’intention des adultes âgés de 18 à 64 ans.
http://www.csep.ca/CMFiles/Guidelines/CSEP_PAGuidelines_adults_fr.pdf. Tiré le 5 juin 2017.
https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-differences-entre-les-exercices-aerobiques-et-anaerobiques-et-limportance-des-deux/ Consulté le 17-01-18

Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

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Ski de fond

25 janvier 2018 By Jean-Sébastien Gélinas

Selon le Conseil canadien du ski, en 2015, 4,1 % (1 259 000) des Canadiens de 12 ans et plus pratiquaient le ski de fond. Selon l’Enquête québécoise sur les activités physiques, sportives et de loisirs (2006), on estimait au Québec que chez les 15 ans et plus, près de 12 % des personnes pratiquent le ski de fond au moins une fois par année, parmi lesquels 43 % le font au moins 10 fois et plus par année. Évidemment, la quantité d’accumulation de neige compte pour beaucoup dans la régionalisation du sport. Le ski de fond se pratiquant sur neige naturelle, les conditions d’enneigements influencent énormément la pratique dans certaines régions. Et ce, d’un hiver à l’autre!

Le ski de fond pour tous les types de sportifs

Le ski de fond est l’un des sports les plus complets qui soient. Les jambes, les bras ainsi que le système cardio vasculaire sont sollicités! C’est un sport de glisse qui ne donne pas d’impact au sol. Il peut être pratiqué à tous les âges et permet de passer à travers nos hivers tout en ayant chaud!

Au Québec, le calendrier d’événements participatifs et compétitifs connait peu de répit de fin décembre au mois de mars. On a qu’à penser aux différentes courses ou randonnées de longues distances appelées « Loppet » telles que celle à Gatineau et Orford ou encore le Marathon Canadien de Ski. Pour les plus jeunes, l’initiation chez les 6 à 9 ans passe par le programme appelé « Jack Rabbit ». Bref, que vous ayez le goût de vous initier ou de le choisir comme sport d’entrainement hivernal, le ski de fond demeure une activité de prédilection afin de traverser ces mois plus frisquets.

Depuis de nombreuses années, le ski de fond s’est fortement modernisé en termes d’équipement. Terminée l’ère où ce sport se pratiquait sur des skis de bois avec des fixations à trois trous qui garantissaient des cloches et des ongles douloureux ! Le sport s’est aussi diversifié avec l’arrivée de la technique de pas de patin au milieu des années 80. La technique classique reste celle  pratiquée par la plupart des utilisateurs de sentiers. Mais lorsque le niveau de conditionnement physique le permet, le skieur peut varier ses sorties en fonction de ses intérêts et conditions climatiques et ainsi ne jamais s’ennuyer en alternant les deux styles de pratiques.

Le ski de fond est peu risqué…

Règle générale, la pratique du ski de fond comporte peu de risque. Selon l’Étude des blessures subies au cours de la pratique d’activités récréatives et sportives au Québec en 2009-2010 de l’Institut National de Santé Publique, 710 000 Québécois (6-74 ans) ont pratiqué le ski de fond au moins une fois en 2009-2010. Ce qui correspond à 11% de la population de la saison de référence. Toujours selon cette étude, le tableau répertoriant le taux de blessures des différents sports n’indique même pas la pratique du ski de fond parmi les 20 principaux sports à risque de blessures!

…Mais soyez prudents!

Néanmoins, la pratique d’un sport de glisse demande certaines précautions. Les fondeurs de tous âges peuvent être à risque d’avoir des douleurs au dos. En style classique, la phase de propulsion de la jambe vers l’arrière provoque une hyperextension du dos (le dos s’arque vers l’arrière). Les articulations peuvent donc s’irriter. En technique de double-poussée de bras, la répétition de la flexion-extension du tronc peut être exigeante sur la colonne vertébrale. La non-utilisation des jambes demande une poussée forte et puissante. Autre exemple, le fait de manquer d’adhérence lorsque les skis ne sont pas parfaitement cirés ou que les conditions sont trop chaudes ou glacées demande beaucoup de souplesse aux muscles de la hanche. Ce manque d’adhérence soudain peut causer de nombreuses douleurs au skieur.

Blessures fréquentes en ski de fond

En clinique chiropratique, on observe notamment des tendinites achilléennes qui peuvent se présenter à l’arrière du talon puisque les mollets sont fortement sollicités et encore davantage dans les montées. De plus, un phénomène d’adaptation musculaire est bien connu des fondeurs; la typique douleur à l’aine, souvent mentionnée en début de saison ou parmi les gens pratiquant  sporadiquement le sport. Au niveau de l’épaule, il faut surveiller les lésions dites « d’accrochage » pouvant mener à des tendinites de la coiffe des rotateurs. Sur le plan traumatique, les pathologies aiguës sont observées surtout sur neige dure et glacée et dans les descentes puisque le risque de chute s’en trouve augmentée. On pense alors aux poignets, aux épaules ou au bassin particulièrement qui sont plus exposés à des lésions osseuses.

Approche chiropratique pour les fondeurs

La chiropratique, par son orientation de soins neuro-musculo-squelettiques, devient une alternative de choix pour tous ceux qui s’adonnent au ski de fond. Afin de bien soigner une région musculo-squelettique, il faut un bon diagnostic de la problématique. Les soins doivent être des plus spécifiques afin d’aider le corps à se rétablir le plus rapidement possible. Le chiropraticien est un professionnel de la santé spécialement formé pour un diagnostic chiropratique de la condition et corriger les anomalies des mouvements vertébraux et des autres articulations. Il peut vous aider dans vos lésions musculaires et peut vous donner des exercices afin de minimiser les risques de rechutes. Ses soins prodigués sur certaines articulations vertébrales, du bassin, de la hanche ou de l’épaule permettent aux fondeurs d’exercer leur passion avec le minimum d’inconfort et le maximum d’efficacité !

Saviez-vous que?

Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains». Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.

De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.

La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème.

La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Un dérangement à la colonne  vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps.

La chiropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.
Collaboration spéciale du Conseil Chiropratique des Sciences du sport du Québec | ccssq.ca

https://www.skicanada.org/wp-content/uploads/2016/01/2014-15-Faits-et-statistiques.pdf Consulté le 17-01-18
http://rseq.ca/media/844914/etudeblessuresrecreasportqc2009-2010.pdf Consulté le 17-01-18

Source et références:
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

Classé sous :Association des chiropraticiens du Québec, Nouvelles Balisé avec :prévenir les blessures, ski, ski de fond

Préparation ski/hockey

18 janvier 2018 By Jean-Sébastien Gélinas

L’hiver est une période magnifique et agréable, surtout si vous aimez les sports d’hiver comme le ski et le hockey. Ces sports, qui comptent de nombreux adeptes au Canada, présentent aussi des risques pour vos muscles et articulations si vous n’êtes pas adéquatement préparés.

Généralement, le ski fait appel à des muscles qui permettent la rotation interne de la hanche, essentielle au maintien de l’équilibre et à la coordination1. L’une des manières de préparer le corps et la mémoire musculaire pour le ski consiste à pratiquer sa technique à l’aide d’une planche d’équilibre, de patins à roues alignées ou de sports qui exigent des mouvements rapides et des  changements de direction. Le ski exige également de l’endurance et de la résistance. L’entraînement fractionné (interval training), où vous vous donnez à fond durant de courtes périodes, peut grandement aider à acquérir de l’endurance. Les progrès que vous réalisez dans le cadre de votre entraînement fractionné se refléteront sur votre endurance globale2. Par contre, comme dans toute activité, la clé réside dans la progression.

Autre incontournable de l’hiver, le hockey est un sport d’endurance et d’activité intense et soudaine qui exige des capacités aérobiques et de la force musculaire3. Les longues périodes de patinage peuvent servir d’entraînement aérobique, tandis que les courts sprints, les sauts sur boîte et la méthode Tabata sont excellents pour développer le côté anaérobique et combatif propre à ce sport.

Si vous êtes amateur de ski ou de hockey, il est temps de commencer à vous préparer pour la saison. Voici quelques conseils généraux pour aider à prévenir les blessures :

Optimisez les fonctions articulaires et musculaires

Dans des sports comme le ski et le hockey, il est important d’avoir une bonne amplitude de mouvement musculaire et articulaire. En effet, la prévention des blessures passe par une plus grande mobilité. Votre chiropraticien vous aidera à améliorer vos fonctions articulaires et musculaires et vous conseillera des moyens d’étendre votre mobilité en toute sécurité en fonction de vos objectifs
personnels. Plus vite vous commencerez, plus vous serez prêt.

Échauffez-vous et étirez-vous

Avant de vous élancer sur la glace ou les pistes, vous devriez toujours vous échauffer. Commencez en douceur par une période de marche ou de patinage afin d’augmenter le flux sanguin dans les muscles. Pour aider à prévenir les blessures, faites aussi quelques exercices d’étirement doux. Mieux encore, avant le début de la saison, travaillez votre mobilité générale afin d’améliorer vos qualités athlétiques et vos performances. Pour bouger durant la journée, utilisez l’appli Allez bougez Canada. Essayez aussi nos étirements pour le hockey, qui conviennent aussi au ski.

Vérifiez votre équipement

Avant le début de la saison, vous devriez toujours vous assurer que votre équipement est bien ajusté et en bon état. L’équipement sert à soutenir votre corps et à le protéger contre les blessures. Si vous devez vous procurer un nouvel équipement cette saison, demandez à un professionnel de vous conseiller celui qui répond le mieux à vos besoins.

Perfectionnez votre technique – suivez des cours au besoin

Dans tout sport, les mauvaises habitudes et les techniques défaillantes augmentent les risques de blessure. Dans des sports comme le hockey ou le ski, l’agilité et la technique contribuent grandement à vos performances. Prenez le temps qu’il faut pour acquérir de nouvelles habiletés. Même les skieurs et les joueurs de hockey aguerris prennent le temps de pratiquer leurs techniques avant une partie ou une compétition. Pour apprendre, pratiquer ou peaufiner votre technique avant le début de la saison, vous devriez peut-être suivre des cours auprès d’un professionnel.

Les membres de votre équipe de soins, notamment votre chiropraticien, peuvent aussi vous aider à vous préparer pour les sports d’hiver. Discutez avec eux des sports que vous exercez afin de vous assurer que votre corps est prêt. Ils sauront aussi vous conseiller des stratégies pour diminuer les risques de blessure.

Saviez-vous que?

Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains».

Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.

De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.

La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème.

La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Un dérangement à la colonne vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps.

La chiropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.
Article de l’Association chiropratique canadienne | chiropratique.ca
https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/preparation-et-conditionnement-physique-pour-le-ski-et-le-hockey/ Consulté le 11 janvier 2018
1.The Ultimate-Ski.com, Get ready for Skiing, http://www.ultimate-ski.com/features/useful-ski-tips/get-ready-for-skiing.aspx.
2. Troy Flanagan, Base training and injury prevention for Skiing, https://ussa.org/sites/default/files/documents/athletics/
alpine/2011-12/documents/BaseTraining.pdf.
3. Sports Fitness Advisor, https://www.sport-fitness-advisor.com/ice-hockey-training.html

Source et références:
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

Classé sous :Association des chiropraticiens du Québec, Nouvelles Balisé avec :hockey, prévenir les blessures, ski, sports, sports d'hiver

9 Conseils pour rester actif en hiver

11 janvier 2018 By Jean-Sébastien Gélinas

Lorsque le mercure descend, nous avons davantage tendance à faire des activités sédentaires à l’intérieur. Dans ce contexte, il est parfois difficile de rester actif. La solution : prévoyez quelques plages dans votre horaire de la semaine pour pratiquer une activité physique.

Pour retirer des bienfaits de l’exercice, un adulte doit cumuler 2,5 heures d’activité par semaine, par séances d’au moins dix minutes. Ces activités doivent être d’une intensité aérobique de modérée à intense. Lorsque vous pratiquez une activité d’intensité modérée, comme la marche rapide ou le vélo, vous aurez tendance à transpirer un peu plus et à respirer plus rapidement. Dans le cas d’activités plus intenses, comme le jogging ou le ski de fond, vous transpirerez davantage et vous sentirez essoufflé.1

Voici quelques conseils qui vous motiveront à rester actif durant l’hiver :2

Planifiez vos activités.

Si vous inscrivez vos activités à votre calendrier, vous serez moins susceptibles de les oublier. Préparez-vous bien pour garder de bonnes habitudes.

Trouvez une activité agréable près de chez vous.

Comme la raquette, le ski, le patinage ou le ski de fond.

Enfilez des pelures.

Isolez bien votre corps. Bien au chaud, vous aurez plus de plaisir à rester
dehors.

Profitez de la lumière du jour.

Sortez dehors de préférence lorsqu’il fait jour. Il est plus difficile de se motiver à faire des activités lorsqu’il fait nuit.

Inscrivez-vous à des activités d’intérieur.

À votre centre communautaire : cours d’aérobie ou de yoga, badminton, basketball, etc.

Montez les escaliers.

Forcez-vous à faire plus de pas que nécessaire. À la maison, au centre commercial ou au bureau, montez et descendez les escaliers plus d’une fois. 5 minutes suffisent pour faire une grande différence sur la santé.

Faites un saut à la bibliothèque pour trouver des sources de motivation.

Vous pouvez y emprunter un large éventail de DVD d’exercice : danse, step, aérobie, Pilates… Lorsque vous en retournez un, reprenez-en un nouveau.

Inscrivez-vous à des courses amicales.

Vous trouverez sûrement dans votre quartier des courses amicales non compétitives de 5 à 10 kilomètres. Participez en famille ou avec des amis!

À deux, c’est mieux!

Planifiez des activités avec une autre personne. Vous pouvez par exemple vous rencontrer le matin pour une promenade ou l’après-midi pour une séance d’entraînement. À deux, vous développerez un sentiment de responsabilité. Pour vous aider à vous fixer des objectifs adaptés à vos besoins musculo-squelettiques, demandez à votre chiropraticien ou chiropraticienne de vous conseiller des activités.

Quel que soit votre niveau d’activité, n’oubliez pas de vous hydrater. Il est facile d’oublier de boire de l’eau lorsqu’il fait froid dehors. Pourtant, votre corps a autant besoin d’hydratation dans une tempête de neige que pendant une vague de chaleur.2

Et, surtout, restez motivé. Révisez vos objectifs (ou cherchez des trucs pour vous fixer de nouveaux buts), afin de ne pas les perdre de vue. Planifiez et visualisez vos objectifs : en regardant devant, vous les atteindrez.

Bonne année 2018 !

Saviez-vous que?

Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains». Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.

De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.

La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème.

La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Un dérangement à la colonne  vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps.

La chiropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.
Article de l’Association chiropratique canadienne | chiropratique.ca
https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/9-conseils-pour-rester-actif-en-hiver/
Consulté le 21-12-17
1. Directives canadiennes en matière d’activité physique. 1re éd. SCPE ; 2016. Accessible à : http://www.csep.ca/CMFIles/Guidelines/CSEP_PAGuidelines_adults_fr.pdf. Tiré le 7 novembre 2016.
2. Fondation canadienne de l’AVC et des maladies du coeur. 11 trucs pour demeurer actif l’hiver. 2009. Heartandstroke.ca. Accessible à : http://www.heartandstroke.ca/articles/11-ways-to-stay-active-in-winter. Tiré le 7 novembre 2016.

Source et références:
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

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Bienvenue sur notre nouveau site !

20 novembre 2012 By Jean-Sébastien Gélinas

Bienvenue sur le nouveau site Web de la Clinique santé vertébrale !

Il reste encore un peu de travail à faire pour ajouter du contenu dans certaines sections mais, nous croyons qu’il sera un outil très utile pour notre clientèle car il offrira beaucoup d’information sous forme de textes ou de vidéos qui vous aideront à améliorer et maintenir votre santé.

Nous somment bien-sur ouverts à vos suggestions et, ce site a été conçu pour être évolutif et nous permettre de toujours mieux vous servir. N’hésitez donc pas à communiquer avec nous via la page Nous joindre.

Au plaisir de vous accueillir à la clinique !

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