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Ski de fond

25 février 2019 By Jean-Sébastien Gélinas

Le ski de fond

Selon le Conseil canadien du ski, en 2015, 4,1 % des Canadiens de 12 ans et plus pratiquaient le ski de fond, ce qui représentait 1 259 000 personnes. Le ski de fond se pratiquant sur neige naturelle, les conditions d’enneigements influencent énormément la pratique dans certaines régions. Et ce, d’un hiver à l’autre!

Le ski de fond pour tous les types de sportifs

Le ski de fond est l’un des sports les plus complets qui soient. Les jambes, les bras ainsi que le système cardio-vasculaire sont sollicités! C’est un sport de glisse qui ne donne pas d’impact au sol. Il peut être pratiqué à tous les âges et permet de passer à travers nos hivers tout en ayant chaud! Au Québec, le calendrier d’événements participatifs et compétitifs connait peu de répit de fin décembre au mois de mars. On a qu’à penser aux différentes courses ou randonnées de longues distances appelées « Loppet » telles que celle à Gatineau et Orford ou encore le Marathon Canadien de Ski. Pour les plus jeunes, l’initiation chez les 6 à 9 ans passe par le programme appelé « Jack Rabbit ». Bref, que vous ayez le goût de vous initier ou de le choisir comme sport d’entrainement hivernal, le ski de fond demeure une activité de prédilection afin de traverser ces mois plus frisquets.

Depuis de nombreuses années, le ski de fond s’est fortement modernisé en termes d’équipement. Terminé l’ère où ce sport se pratiquait sur des skis de bois avec des fixations à trois trous qui garantissaient des cloches! Le sport s’est aussi diversifié avec l’arrivée de la technique du pas de patin au milieu des années 80. La technique classique reste celle pratiquée par la plupart des utilisateurs de sentiers. Mais lorsque le niveau de conditionnement physique le permet, le skieur peut varier ses sorties en fonction de ses intérêts et conditions climatiques et ainsi ne jamais l’ennuyer en alternant les deux styles de pratiques.

Le ski de fond est peu risqué…

Règle générale, la pratique du ski de fond comporte peu de risque, surtout dû au fait que c’est un sport à faible impact sur les articulations et qu’il permet de faire bouger tous les groupes articulaires.

… Mais soyez prudents !

Néanmoins, la pratique d’un sport de glisse demande certaines précautions. Les fondeurs de tous âges peuvent être à risque d’avoir des douleurs au dos. En style classique, la phase de propulsion de la jambe vers l’arrière provoque une hyperextension du dos (le dos s’arque vers l’arrière). Les articulations peuvent donc s’irriter. En technique de doublepoussée de bras, la répétition de la flexion-extension du tronc peut être exigeante sur la colonne vertébrale. La non-utilisation des jambes demande une poussée forte et puissante. Autre exemple, le fait de manquer d’adhérence lorsque les skis ne sont pas parfaitement cirés ou que les conditions sont trop chaudes ou glacées demande beaucoup de souplesse aux muscles de la hanche. Ce manque d’adhérence soudain peut causer de nombreuses douleurs au skieur.

Blessures fréquentes en ski de fond

En clinique chiropratique, on observe notamment des tendinites achilléennes qui peuvent se présenter à l’arrière du talon puisque les mollets sont fortement sollicités et encore davantage dans les montées. De plus, un phénomène d’adaptation musculaire est bien connu des fondeurs; la typique douleur à l’aine, souvent mentionnée en début de saison ou parmi les gens pratiquant sporadiquement le sport. Au niveau de l’épaule, il faut surveiller les lésions dites « d’accrochage » pouvant mener à des tendinites de la coiffe des rotateurs. Sur le plan traumatique, les pathologies aiguës sont observées surtout sur neige dure et glacée et dans les descentes puisque le risque de chute s’en trouve augmentée. On pense alors aux poignets, aux épaules ou au bassin particulièrement qui sont plus exposés à des lésions osseuses.

Approche chiropratique pour les fondeurs

La chiropratique, par son orientation de soins neuro-musculo-squeleƫques, devient une alternative de choix pour tous ceux qui s’adonnent au ski de fond. Afin de bien soigner une région musculo-squeleƫque, il faut un bon diagnostic de la problématique. Les soins doivent être des plus spécifiques afin d’aider le corps à se rétablir le plus rapidement possible. Le chiropraticien est un professionnel de la santé spécialement formé pour un diagnostic chiropratique de la condition et corriger les anomalies des mouvements vertébraux et des autres articulations. Il peut vous aider dans vos lésions musculaires et peut vous donner des exercices afin de minimiser les risques de rechutes. Ses soins prodigués sur certaines articulations vertébrales, du bassin, de la hanche ou de l’épaule permettent aux fondeurs d’exercer leur passion avec le minimum d’inconfort et le maximum d’efficacité !

Source et références:
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

Collaboration spéciale du Conseil Chiropratique des Sciences du sport du Québec | ccssq.ca
https://www.skicanada.org/wp-content/uploads/2016/01/2014-15-Faits-et-statistiques.pdf, Consulté le 22-01-19
http://rseq.ca/media/844914/etudeblessuresrecreasportqc2009-2010.pdf, Consulté le 22-01-19

Classé sous :Association des chiropraticiens du Québec Balisé avec :activités, prévenir les blessures, ski, ski de fond, sports, sports d'hiver

La randonnée en raquette

25 février 2019 By Jean-Sébastien Gélinas

La randonnée en raquette

Près de 16% des Québécois s’adonnent annuellement à la raquette seuls ou en groupe. Ce sport est idéal pour ceux qui désirent rester actifs durant la saison hivernale, car en plus d’être économique, il est accessible et sollicite l’ensemble du corps. En effet, si vous utilisez des bâtons lors de vos randonnées, c’est 90% des muscles qui sont en mouvement! Puisque les membres inférieurs travaillent plus intensément que le reste du corps, la pratique de la raquette permet de tonifier les fléchisseurs des hanches, les quadriceps et les fessiers.

Problèmes aux genoux

Parmi les sports d’hiver, la raquette est celui à privilégier pour les personnes qui ont des problèmes aux genoux. En effet, les mouvements réalisés durant une randonnée sont similaires à ceux effectués en marchant, ce qui fait de cette activité un sport qui exerce peu de pression sur les articulations des membres inférieurs. Si vous avez des problèmes aux genoux, il est par contre important de bien vous renseigner sur les conditions du sentier avant d’entamer votre randonnée. Puisque les ascensions et les descentes peuvent avoir un impact important sur le travail musculaire du bas du corps, il est préférable d’opter pour des terrains plats et d’utiliser des bâtons de marche pour vous stabiliser.

Préparation à la randonnée

Que vous soyez expert ou apprenti de la raquette, il est important de bien vous préparer avant chaque sortie sur les sentiers. Voici donc quelques trucs à suivre afin de diminuer les risques de blessures dues à la météo ou aux conditions du sentier par exemple.

L’équipement

Avant de vous lancer sur les pistes, il est primordial de faire la liste du matériel qui vous sera nécessaire lors de votre activité. Peu importe la durée de la randonnée, il est recommandé d’apporter minimalement un sac à dos dans lequel vous pourrez incorporer une bouteille d’eau, des collations et une lampe de poche ou frontale afin d’être prêt à faire face à un imprévu. Si vous désirez avoir une liste de matériel plus détaillée, faites vos recherches sur le Web! Il existe plusieurs sites de plein air spécialisés qui proposent gratuitement de telles listes en ligne.

Le choix de la destination

Au Québec, il y a l’embarras du choix pour les sentiers de raquette! Pour vous aider à faire votre choix, tournez-vous vers des ressources accessibles :

  • Prenez en note les recommandations de vos proches.
  • Demandez les conseils des employés du centre de ski de votre région.
  • Consultez les cartes des sentiers sur des sites tels que celui de la Sépaq.

Une fois la décision prise, assurez-vous de consulter les prévisions météo et les conditions de la piste avant de partir afin de pouvoir adapter votre équipement si nécessaire. Vous pourrez par exemple déterminer si vous devrez vous servir de bâtons de marche ou de crampons d’appoint. Finalement, n’oubliez pas de communiquer votre destination à un de vos proches afin qu’il puisse communiquer votre position aux services d’urgence en cas de besoin.

Sur la piste

Une fois rendu sur place, prenez 5 minutes pour préparer votre corps à l’effort. Des exercices comme les squats, les fentes et des étirements du haut du corps sont de bons mouvements à faire avant l’activité, mais également à répéter lors des pauses que vous prendrez durant votre activité. Durant ces moments de repos, profitez-en également pour faire le plein d’énergie grâce aux collations que vous aurez apportées et pour prendre quelques gorgées d’eau afin de prévenir la déshydratation. Lors d’un rendez-vous avec votre chiropraticien de confiance, celui-ci peut vous conseiller des exercices adaptés à votre situation. N’hésitez pas à aller le consulter afin qu’il vous aide à profiter pleinement de votre prochaine randonnée en raquette!

Source et références:
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

https://latulippe.com/fr/chroniques/la-raquette-un-sport-d-hiver-facile-accessible-et-economique/, Consulté le 14-01-19
https://www.mec.ca/fr/explore/how-to-start-snowshoeing, Consulté le 14-01-19
https://www.mec.ca/fr/explore/snowshoeing-checklist, Consulté le 14-01-19
https://www.selection.ca/sante/vivre-sainement/la-raquette-pour-la-forme-la-sante-et-le-plaisir/, Consulté le 14-01-19
http://plus.lapresse.ca/screens/6bb0d255-272f-4feb-81b7-4bf5fe156757__7C___0.html, Consulté le 14-01-19
https://www.sepaq.com/quoi-faire/raquette-sentiers.dot?language_id=2, Consulté le 14-01-19

Classé sous :Association des chiropraticiens du Québec Balisé avec :activités, prévenir les blessures, raquette, sports, sports d'hiver

Ski Alpin

25 février 2019 By Jean-Sébastien Gélinas

On se protège sur les pistes !

Près de 80% des usagers des stations de ski portent le casque protecteur. C’est une excellente nouvelle considérant que le port du casque réduit de manière appréciable les blessures aux niveaux crânien et cervical, de même que les commotions cérébrales. Chaque année, les blessures causées par la pratique de sports d’hiver amènent une augmentation significative du nombre de patients en clinique chiropratique. Les sports de glisse, comme le ski et la planche à neige, sont des sports qui sollicitent énormément les articulations et les tendons. Les genoux sont mis à rude épreuve. Les chutes peuvent entraîner des ruptures de tendons, des entorses ou des fractures au niveau des articulations. Toutefois, il serait bien malaisé de pratiquer son sport de glisse favori blindé de la tête au pied, il faut donc y aller de quelques précautions de base.

On se prépare !

Il est primordial de commencer toute activité de plein air par un bon échauffement. L’échauffement permet d’augmenter l’apport sanguin aux muscles, ce qui aide à la livraison des éléments nutritifs propres à la production d’énergie. Il est conseillé de commencer avec un 10 à 15 minutes de marche rapide, de course sur place ou de sauts.

On se protège !

Il est maintenant monnaie courante de compléter l’équipement de ski alpin ou de planche à neige par un casque protecteur. C’est même devenu un item très in sur les pistes et c’est tant mieux car le port du casque protège efficacement la tête et le cou, réduisant de près de 50% les blessures. Les blessures à la tête représentent 18,89 % des blessures qui surviennent lors des sports de glisse. Par contre, lorsque l’on observe la sévérité des blessures, celles à la tête comptent pour près de la moitié des blessures sévères, à 43,4 %. C’est pourquoi des organismes comme la Patrouille Canadienne de Ski et le Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport recommandent fortement le port du casque protecteur.

On consulte un chiropraticien !

Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous subissez un choc au cou ou à la tête. Le chiropraticien, de par sa formation universitaire, est un choix tout indiqué pour faire l’évaluation de la condition et proposer le traitement approprié. Il saura vous référer au bon endroit si le problème nécessite des soins plus spécialisés et prendre en charge la vaste majorité des blessures reliées à la colonne vertébrale. Il est aussi important, en tant que proche, de surveiller les personnes ayant subit une blessure au cou ou à la tête afin de déceler des changements qui pourraient échapper à la victime telle une confusion ou une détérioration de sa condition.

On se ménage !

Souvenez-vous que les deux descentes les plus à risques sont la première et la dernière. La première se fera lentement, en exagérant les mouvements afin de compléter l’échauffement. En fin de journée, la fatigue commence à se faire sentir. La dernière descente se fera donc doucement. Prenez le temps d’admirer le paysage. Si une douleur perdure plus de 48 heures, il est fortement suggéré de consulter votre chiropraticien. Ce dernier saura identifier, traiter et prévenir apparition de blessures neuromusculosquelettiques en plus de vous sensibiliser aux bienfaits d’un corps en santé. Suivez ces quelques conseils et vous pourrez profiter pleinement des plaisirs de l’hiver, du feu de foyer à la fin de la journée et de l’après-ski. D’ailleurs, plusieurs chiropraticiens sont sur les pistes les samedis, jusqu’à la mi-mars, afin de conseiller les fans de sports de glisse dans le cadre de la Tournée chiropratique.com.

Avec la collaboration spéciale de Dr Charles Caron, chiropraticienSource et références:
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

https://www.quebechebdo.com/sports/148216/148216/, Consulté le 23-01-19
http://www.education.gouv.qc.ca/eleves/securite-integrite-et-ethique/reglementation/application-de-la-reglementation/ski-alpin/, Consulté le 25-01-19
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3989528/, Consulté le 25-01-19
HAGEL, B. E., PLESS, I. B., GOULET, C., PLATT, R. W., and Y. ROBITAILLE. « Effectiveness helmets in skiers and snowboarders : case-control and casecrossover study », The British Medical Journal, vol. 330, no 7486, February 5 2005, p. 281

 

Classé sous :Association des chiropraticiens du Québec Balisé avec :prévenir les blessures, ski, sports, sports d'hiver

Ski de fond

25 janvier 2018 By Jean-Sébastien Gélinas

Selon le Conseil canadien du ski, en 2015, 4,1 % (1 259 000) des Canadiens de 12 ans et plus pratiquaient le ski de fond. Selon l’Enquête québécoise sur les activités physiques, sportives et de loisirs (2006), on estimait au Québec que chez les 15 ans et plus, près de 12 % des personnes pratiquent le ski de fond au moins une fois par année, parmi lesquels 43 % le font au moins 10 fois et plus par année. Évidemment, la quantité d’accumulation de neige compte pour beaucoup dans la régionalisation du sport. Le ski de fond se pratiquant sur neige naturelle, les conditions d’enneigements influencent énormément la pratique dans certaines régions. Et ce, d’un hiver à l’autre!

Le ski de fond pour tous les types de sportifs

Le ski de fond est l’un des sports les plus complets qui soient. Les jambes, les bras ainsi que le système cardio vasculaire sont sollicités! C’est un sport de glisse qui ne donne pas d’impact au sol. Il peut être pratiqué à tous les âges et permet de passer à travers nos hivers tout en ayant chaud!

Au Québec, le calendrier d’événements participatifs et compétitifs connait peu de répit de fin décembre au mois de mars. On a qu’à penser aux différentes courses ou randonnées de longues distances appelées « Loppet » telles que celle à Gatineau et Orford ou encore le Marathon Canadien de Ski. Pour les plus jeunes, l’initiation chez les 6 à 9 ans passe par le programme appelé « Jack Rabbit ». Bref, que vous ayez le goût de vous initier ou de le choisir comme sport d’entrainement hivernal, le ski de fond demeure une activité de prédilection afin de traverser ces mois plus frisquets.

Depuis de nombreuses années, le ski de fond s’est fortement modernisé en termes d’équipement. Terminée l’ère où ce sport se pratiquait sur des skis de bois avec des fixations à trois trous qui garantissaient des cloches et des ongles douloureux ! Le sport s’est aussi diversifié avec l’arrivée de la technique de pas de patin au milieu des années 80. La technique classique reste celle  pratiquée par la plupart des utilisateurs de sentiers. Mais lorsque le niveau de conditionnement physique le permet, le skieur peut varier ses sorties en fonction de ses intérêts et conditions climatiques et ainsi ne jamais s’ennuyer en alternant les deux styles de pratiques.

Le ski de fond est peu risqué…

Règle générale, la pratique du ski de fond comporte peu de risque. Selon l’Étude des blessures subies au cours de la pratique d’activités récréatives et sportives au Québec en 2009-2010 de l’Institut National de Santé Publique, 710 000 Québécois (6-74 ans) ont pratiqué le ski de fond au moins une fois en 2009-2010. Ce qui correspond à 11% de la population de la saison de référence. Toujours selon cette étude, le tableau répertoriant le taux de blessures des différents sports n’indique même pas la pratique du ski de fond parmi les 20 principaux sports à risque de blessures!

…Mais soyez prudents!

Néanmoins, la pratique d’un sport de glisse demande certaines précautions. Les fondeurs de tous âges peuvent être à risque d’avoir des douleurs au dos. En style classique, la phase de propulsion de la jambe vers l’arrière provoque une hyperextension du dos (le dos s’arque vers l’arrière). Les articulations peuvent donc s’irriter. En technique de double-poussée de bras, la répétition de la flexion-extension du tronc peut être exigeante sur la colonne vertébrale. La non-utilisation des jambes demande une poussée forte et puissante. Autre exemple, le fait de manquer d’adhérence lorsque les skis ne sont pas parfaitement cirés ou que les conditions sont trop chaudes ou glacées demande beaucoup de souplesse aux muscles de la hanche. Ce manque d’adhérence soudain peut causer de nombreuses douleurs au skieur.

Blessures fréquentes en ski de fond

En clinique chiropratique, on observe notamment des tendinites achilléennes qui peuvent se présenter à l’arrière du talon puisque les mollets sont fortement sollicités et encore davantage dans les montées. De plus, un phénomène d’adaptation musculaire est bien connu des fondeurs; la typique douleur à l’aine, souvent mentionnée en début de saison ou parmi les gens pratiquant  sporadiquement le sport. Au niveau de l’épaule, il faut surveiller les lésions dites « d’accrochage » pouvant mener à des tendinites de la coiffe des rotateurs. Sur le plan traumatique, les pathologies aiguës sont observées surtout sur neige dure et glacée et dans les descentes puisque le risque de chute s’en trouve augmentée. On pense alors aux poignets, aux épaules ou au bassin particulièrement qui sont plus exposés à des lésions osseuses.

Approche chiropratique pour les fondeurs

La chiropratique, par son orientation de soins neuro-musculo-squelettiques, devient une alternative de choix pour tous ceux qui s’adonnent au ski de fond. Afin de bien soigner une région musculo-squelettique, il faut un bon diagnostic de la problématique. Les soins doivent être des plus spécifiques afin d’aider le corps à se rétablir le plus rapidement possible. Le chiropraticien est un professionnel de la santé spécialement formé pour un diagnostic chiropratique de la condition et corriger les anomalies des mouvements vertébraux et des autres articulations. Il peut vous aider dans vos lésions musculaires et peut vous donner des exercices afin de minimiser les risques de rechutes. Ses soins prodigués sur certaines articulations vertébrales, du bassin, de la hanche ou de l’épaule permettent aux fondeurs d’exercer leur passion avec le minimum d’inconfort et le maximum d’efficacité !

Saviez-vous que?

Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains». Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.

De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.

La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème.

La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Un dérangement à la colonne  vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps.

La chiropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.
Collaboration spéciale du Conseil Chiropratique des Sciences du sport du Québec | ccssq.ca

https://www.skicanada.org/wp-content/uploads/2016/01/2014-15-Faits-et-statistiques.pdf Consulté le 17-01-18
http://rseq.ca/media/844914/etudeblessuresrecreasportqc2009-2010.pdf Consulté le 17-01-18

Source et références:
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

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Préparation ski/hockey

18 janvier 2018 By Jean-Sébastien Gélinas

L’hiver est une période magnifique et agréable, surtout si vous aimez les sports d’hiver comme le ski et le hockey. Ces sports, qui comptent de nombreux adeptes au Canada, présentent aussi des risques pour vos muscles et articulations si vous n’êtes pas adéquatement préparés.

Généralement, le ski fait appel à des muscles qui permettent la rotation interne de la hanche, essentielle au maintien de l’équilibre et à la coordination1. L’une des manières de préparer le corps et la mémoire musculaire pour le ski consiste à pratiquer sa technique à l’aide d’une planche d’équilibre, de patins à roues alignées ou de sports qui exigent des mouvements rapides et des  changements de direction. Le ski exige également de l’endurance et de la résistance. L’entraînement fractionné (interval training), où vous vous donnez à fond durant de courtes périodes, peut grandement aider à acquérir de l’endurance. Les progrès que vous réalisez dans le cadre de votre entraînement fractionné se refléteront sur votre endurance globale2. Par contre, comme dans toute activité, la clé réside dans la progression.

Autre incontournable de l’hiver, le hockey est un sport d’endurance et d’activité intense et soudaine qui exige des capacités aérobiques et de la force musculaire3. Les longues périodes de patinage peuvent servir d’entraînement aérobique, tandis que les courts sprints, les sauts sur boîte et la méthode Tabata sont excellents pour développer le côté anaérobique et combatif propre à ce sport.

Si vous êtes amateur de ski ou de hockey, il est temps de commencer à vous préparer pour la saison. Voici quelques conseils généraux pour aider à prévenir les blessures :

Optimisez les fonctions articulaires et musculaires

Dans des sports comme le ski et le hockey, il est important d’avoir une bonne amplitude de mouvement musculaire et articulaire. En effet, la prévention des blessures passe par une plus grande mobilité. Votre chiropraticien vous aidera à améliorer vos fonctions articulaires et musculaires et vous conseillera des moyens d’étendre votre mobilité en toute sécurité en fonction de vos objectifs
personnels. Plus vite vous commencerez, plus vous serez prêt.

Échauffez-vous et étirez-vous

Avant de vous élancer sur la glace ou les pistes, vous devriez toujours vous échauffer. Commencez en douceur par une période de marche ou de patinage afin d’augmenter le flux sanguin dans les muscles. Pour aider à prévenir les blessures, faites aussi quelques exercices d’étirement doux. Mieux encore, avant le début de la saison, travaillez votre mobilité générale afin d’améliorer vos qualités athlétiques et vos performances. Pour bouger durant la journée, utilisez l’appli Allez bougez Canada. Essayez aussi nos étirements pour le hockey, qui conviennent aussi au ski.

Vérifiez votre équipement

Avant le début de la saison, vous devriez toujours vous assurer que votre équipement est bien ajusté et en bon état. L’équipement sert à soutenir votre corps et à le protéger contre les blessures. Si vous devez vous procurer un nouvel équipement cette saison, demandez à un professionnel de vous conseiller celui qui répond le mieux à vos besoins.

Perfectionnez votre technique – suivez des cours au besoin

Dans tout sport, les mauvaises habitudes et les techniques défaillantes augmentent les risques de blessure. Dans des sports comme le hockey ou le ski, l’agilité et la technique contribuent grandement à vos performances. Prenez le temps qu’il faut pour acquérir de nouvelles habiletés. Même les skieurs et les joueurs de hockey aguerris prennent le temps de pratiquer leurs techniques avant une partie ou une compétition. Pour apprendre, pratiquer ou peaufiner votre technique avant le début de la saison, vous devriez peut-être suivre des cours auprès d’un professionnel.

Les membres de votre équipe de soins, notamment votre chiropraticien, peuvent aussi vous aider à vous préparer pour les sports d’hiver. Discutez avec eux des sports que vous exercez afin de vous assurer que votre corps est prêt. Ils sauront aussi vous conseiller des stratégies pour diminuer les risques de blessure.

Saviez-vous que?

Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains».

Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.

De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.

La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème.

La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Un dérangement à la colonne vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps.

La chiropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.
Article de l’Association chiropratique canadienne | chiropratique.ca
https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/preparation-et-conditionnement-physique-pour-le-ski-et-le-hockey/ Consulté le 11 janvier 2018
1.The Ultimate-Ski.com, Get ready for Skiing, http://www.ultimate-ski.com/features/useful-ski-tips/get-ready-for-skiing.aspx.
2. Troy Flanagan, Base training and injury prevention for Skiing, https://ussa.org/sites/default/files/documents/athletics/
alpine/2011-12/documents/BaseTraining.pdf.
3. Sports Fitness Advisor, https://www.sport-fitness-advisor.com/ice-hockey-training.html

Source et références:
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com |
facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

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